Role : UX Writer

Client : Omara Portuondo

Omara Portuondo est une artiste cubaine.
Ancienne chanteuse du célèbre groupe « Buena Vista Social Club », Omara s’est produite avec les plus grands : Ibrahim Ferrer, Chucho Valdes, Roberto Fonseca, Diego El Cigala……

Objectif :

Re-designer la page Error 404 du site de l’artiste.

Analyse :

Bien que le site de l’artiste Omara Portuondo ait déjà une page d’Erreur 404, elle peut être considérablement améliorée.
Certes, elle contient les informations de base (la page que vous cherchez n’a pas été trouvée) et un lien de redirection vers la page d’accueil, mais elle peut être personnalisée tant en matière de contenu que de visuel.

Proposition :

Omara a toujours été une femme séduisante et coquette. Elle aime conquérir le cœur de ses fans et de ses musiciens, non seulement par sa voix, mais aussi par son attitude, son regard et ses mots. Et pour preuve, au cours d’une interview réalisée en 2014, à laquelle elle m’avait répondue :
« Un conseil…? Fondamental, numéro 1 : être séduisante, être féminine. C’est la caractéristique de la femme, quel que soit le lieu où elle naît. Par exemple, la femme cubaine est généralement séduisante et on dit toujours que nous les noirs, les mulâtres, sommes très séduisants… »

Transmettant tant d’affection, d’amour et étant si proche de son public, il me semblait nécessaire que sa page 404 le reflète.

Aussi, à travers cette page 404, je voulais donner l’impression qu’Omara est en train d’écrire une lettre à ses fans. Créer de l’intimité en parlant à la première personne, en signant une lettre (son logo manuscrit à l’appui). Sa page d’accueil présentant la chronologie de sa vie musicale, du présent au passé, il me semblait agréable d’inviter l’utilisateur à « voyager dans le temps » pour revenir à cette page.

Quant au design, j’ai utilisé une photo d’Omara, caressant une fleur pour souligner la délicatesse, la féminité et la tendresse de cette femme.

(Cette proposition a été développée durant ma formation en UX Writing, Shifta. Elle n’est pas publiée sur le site d’Omara Portuondo).